
Planter les graines du changement.
Je sais que ça sonne comme une bonne blague en ces temps de Mourtada (je ne referais pas le débat : il a joué avec le feu, et la réaction a été disproportionnée), mais entre les lignes on lit bien un renouveau.
Bien sûr, il n’est pas du côté du Makhzen, les faits sont là … pas de sous-fifres zélés qui tiennent.
Là où il y a changement, c’est du côté du Mr et Mme Tout-le-monde.
Pour qu’un jeune marocain prenne ce genre de risque bêta, c’est qu’à ses yeux, ce n’en était pas un. C’est que, pour lui, les choses avaient bien évolué, dont acte.
Il sera très difficile pour le Makhzen d’enlever brutalement à ce pays la liberté qu’il nous a fait goûter. Car malgré toutes les tracasseries quotidiennes que l’on puisse vivre, nous avons assurément mis un pied de l’autre côté du changement, et nous en sommes au stade où il faut se mettre en équilibre sur une jambe pour passer de l’autre côté.
Des tacles il y en aura, mais vas arrêter une machine lancée à toute allure.
Ceci n’est pas un énième grain de sel rajouté à l’affaire, ni une 1.000ème signature à la pétition à la Abel Chemoul.
S’il est une pétition que je signerais, c’est celle pour Ahmed Nasser, Med Bougrine, pour le retour de Jamaï fils et pour Mourtada.
Pourquoi ? Parce que Ahmed Nasser, bien que plus âgé que Salvador à l’heure de son grand départ, n’a pas dû beaucoup rigoler dans les geôles de Settat, avant de passer l’arme à gauche.
Parce que ça fait plus d’un an que Bougrine croupit du côté de Beni Mellal, et qu’aucun vent d’indignation semblable à celui que je vois aujourd’hui n’a même frémit.
Parce que quand Jamaï se barre tellement il en a marre, je dis que 2 Jamaï (père et fils) valent mieux qu’un.
P.S : J’ai énormément de sympathie pour Ibn Kafka qui martèle les cas de Ahmed Nasser et de Bougrine, dans un océan de Mourtada.
Je sais que ça sonne comme une bonne blague en ces temps de Mourtada (je ne referais pas le débat : il a joué avec le feu, et la réaction a été disproportionnée), mais entre les lignes on lit bien un renouveau.
Bien sûr, il n’est pas du côté du Makhzen, les faits sont là … pas de sous-fifres zélés qui tiennent.
Là où il y a changement, c’est du côté du Mr et Mme Tout-le-monde.
Pour qu’un jeune marocain prenne ce genre de risque bêta, c’est qu’à ses yeux, ce n’en était pas un. C’est que, pour lui, les choses avaient bien évolué, dont acte.
Il sera très difficile pour le Makhzen d’enlever brutalement à ce pays la liberté qu’il nous a fait goûter. Car malgré toutes les tracasseries quotidiennes que l’on puisse vivre, nous avons assurément mis un pied de l’autre côté du changement, et nous en sommes au stade où il faut se mettre en équilibre sur une jambe pour passer de l’autre côté.
Des tacles il y en aura, mais vas arrêter une machine lancée à toute allure.
Ceci n’est pas un énième grain de sel rajouté à l’affaire, ni une 1.000ème signature à la pétition à la Abel Chemoul.
S’il est une pétition que je signerais, c’est celle pour Ahmed Nasser, Med Bougrine, pour le retour de Jamaï fils et pour Mourtada.
Pourquoi ? Parce que Ahmed Nasser, bien que plus âgé que Salvador à l’heure de son grand départ, n’a pas dû beaucoup rigoler dans les geôles de Settat, avant de passer l’arme à gauche.
Parce que ça fait plus d’un an que Bougrine croupit du côté de Beni Mellal, et qu’aucun vent d’indignation semblable à celui que je vois aujourd’hui n’a même frémit.
Parce que quand Jamaï se barre tellement il en a marre, je dis que 2 Jamaï (père et fils) valent mieux qu’un.
P.S : J’ai énormément de sympathie pour Ibn Kafka qui martèle les cas de Ahmed Nasser et de Bougrine, dans un océan de Mourtada.
Et pour Aïcha Quandicha aussi … il est des points où je ne suis absolument pas d’accord avec elle, mais de quel droit je lui tirerais dessus à la kalachnikov parce qu’elle ose émettre un avis contraire à la blogoma bien pensante ? On critique le manque de démocratie du pays, mais on reproduit exactement le même mode de pensée par ici. Les carrés VIP autoproclamés, non merci.